Certains révisionnistes ont décidé de
"re-christianiser" Hitler. Or Hitler était un anti-chrétien viscéral
et un sympathisant de l'islam.
Pour s'en convaincre, voici quelques extraits de la
"prose" d'Hitler sur le sujet :
"Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous que la France chrétienne par exemple... "
(Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180)
"Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais pas pour le fade paradis des chrétiens !"
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141)
"Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !). Il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés ! "
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297)
"Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante."
(Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138)
Aujourd'hui, le rêve d'Hitler est devenu chose faite. Au rythme effréné de l'immigration-invasion musulmane sur le territoire allemand, les "Germains aryens" sont en passe de tous devenir des musulmans en moins d'une génération !
"Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous que la France chrétienne par exemple... "
(Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180)
"Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais pas pour le fade paradis des chrétiens !"
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141)
"Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !). Il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés ! "
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297)
"Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante."
(Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138)
Aujourd'hui, le rêve d'Hitler est devenu chose faite. Au rythme effréné de l'immigration-invasion musulmane sur le territoire allemand, les "Germains aryens" sont en passe de tous devenir des musulmans en moins d'une génération !
Quant à la
relation d'Hitler avec l'Eglise catholique – et en fait avec toute la
chrétienté –, elle est fondée sur la manipulation afin d'arriver à ses fins,
alors qu'au fond de lui, il était foncièrement anti-chrétien. Certes, il avait besoin des catholiques pour prendre le pouvoir,
mais une fois devenu "Führer", il a montré son vrai visage
foncièrement anticatholique et anti-chrétien et ses principes moraux, qu'il
considérait comme des ersatzs du judaïsme !
Voici quelques éléments et quelques citations de son cru :
Après son ascension au pouvoir en 1933, Hitler signe un "concordat"
avec l’Église catholique, "garantissant les droits de l’Église". Mais
l’article 14 stipule que « Les nominations d’archevêques, d’évêques
et toute autre nomination ne deviendront définitives que lorsque le
représentant du Reich aura donné son accord. » Cela signifie qu'en fait
l'Eglise catholique passe désormais sous la tutelle directe d'Hitler !
Quant à
l'Eglise protestante (luthérienne), Hitler l'a forcé à ajouter à la
"confession de foi" une mention d’adhésion aux idées du régime
hitlérien et lui interdisant la publication de tout écrit théologique n’allant
pas dans le sens de l’idéologie de l’« Église du Reich ».
Il est aussi à noter que lors de la Nuit des
Longs Couteaux, les dirigeants des mouvements de jeunesse catholique
sont exécutés par les SS. Le Vatican adresse des lettres de protestation. En
vain. En 1937, le Vatican condamne officiellement l’idéologie nazie (Voir encyclique
Mit Brennender Sorge du pape Pie XI). Cette encyclique condamnant
les théories raciales et le panthéisme païen du régime nazi est interdite de
diffusion par la Gestapo. Suite à sa lecture publique dans les églises, 1100
prêtres allemands sont arrêtés. 447 d’entre eux ainsi que plusieurs évêques
sont déportés dans des camps de concentration, et près d'une centaine y
périrent.
Hitler n'a cessé de vitupérer contre les chrétiens, catholiques ou
protestants. Voici quelques-unes de ses vitupérations :
« Et cette fois nous éprouvons une violente
sensation de colère à la pensée que des Allemands ont pu s’enliser dans des
doctrines théologiques privées d’une quelconque profondeur, quand sur la
vaste terre il y en a d’autres, comme celle de Confucius, de Bouddha et de
Mahomet, qui à l’inquiétude religieuse offrent un aliment d’une bien autre
valeur. »
« Le paysan doit savoir ce que l’Église lui a dérobé :
l’appréhension mystérieuse et directe de la Nature, le contact instinctif, la
communion avec l’Esprit de la terre. C’est ainsi qu’il doit apprendre à
haïr l’Église. Il doit apprendre progressivement par quels trucs les prêtres
ont volé leur âme aux Allemands. Nous gratterons le vernis chrétien et
nous retrouverons la religion de notre race. »
« Je vous garantis que, si je le veux j’anéantirais
l’Église en quelques années, tant cet appareil religieux est creux, fragile et
mensonger. Il suffira d’y porter un coup sérieux pour le démolir. Nous les
prendrons par leur rapacité et leur goût proverbial des bonnes choses. Je
leur donne tout au plus quelques années de sursis. Pourquoi nous disputer
? Ils avaleront tout, à la condition de pouvoir conserver leur situation
matérielle. Ils succomberont sans combat. Ils flairent déjà d’où souffle le
vent, car ils sont loin d’être bêtes. »
« Je leur arracherais du visage leur masque de
respectabilité. Et si cela ne suffit pas, je les rendrais ridicules et
méprisables. Je ferai tourner des films qui raconteront l’histoire des
hommes noirs. Alors on pourra voir de près l’entassement de folie,
d’égoïsme sordide, d’abrutissement et de tromperie qu’est
leur Eglise. On verra comment ils ont fait sortir l’argent du pays,
comment ils ont rivalisé d’avidité avec les juifs, comment ils ont favorisé les
pratiques les plus honteuses. Nous rendrons le spectacle si excitant que tout
le monde voudra le voir et qu’on fera de longues queues à la porte des
cinémas. Et si les cheveux se dressent sur la tête des bourgeois dévots,
tant mieux. »
« Laissons de côté les subtilités. Qu’il s’agisse de
l’Ancien Testament ou du Nouveau, ou des seules paroles du Christ, comme le
voudrait Houston Stewart Chamberlain, tout cela n’est qu’un seul et même
bluff judaïque. Une église allemande ! Un christianisme allemand ? Quelle
blague ! On est ou bien chrétien ou bien allemand, mais on ne peut être les
deux à la fois. »
« Pour notre peuple, au contraire, la religion est
affaire capitale. Tout dépend de savoir s’il restera fidèle à la religion
judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié, ou s’il aura une foi
nouvelle forte, héroïque, en lui-même, en un Dieu indissociable de son destin
et de son sang. »
« Le fascisme peut, s’il le veut, faire sa paix avec
l’Église. Je ferai de même. Pourquoi pas ? Cela ne m’empêchera nullement
d’extirper le christianisme de l’Allemagne.
Référence des citations ci-dessus : Hermann
Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, Hachette, 1995 (1939), pages
91-99. Ces propos furent prononcés en 1933-1934.
« D’autres
enfin, et c’est évidemment le courant dominant, celui auquel Hitler
s’associe, se bornent à une critique acerbe du christianisme, conçu comme une
religion orientale, déformée sous l’action de Saint Paul, marquée du sceau des
Juifs, une religion de dégénérés et de malades, dont la morale, sous le nom de
charité, de pitié, de résignation, de pardon des injures, d’amour du prochain,
enseigne la faiblesse, la peur, la lâcheté, les scrupules, le déshonneur,
s’oppose à toutes les vertus martiales et achemine les peuples à l’esclavage. »
Référence : André François-Poncet, Souvenirs
d’une ambassade à Berlin de 1931 à 1938, Paris, Flammarion, 1946, page 80.
« Le germanisme dut ainsi rétrograder lentement,
mais sans arrêt, devant cet abus sournois de la religion … et la défense
même des intérêts allemands fut complètement négligée. Le clergé catholique tel
quel causait un brutal préjudice aux droits des Allemands. Il paraissait donc
que l’Église non seulement n’était pas de cœur avec le peuple allemand, mais
qu’elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés de ses
adversaires. La raison de tout le mal, d’après Schoenerer, résidait dans
le fait que la tête de l’Église catholique ne se trouvait point en Allemagne ;
et c’était là une cause suffisante de son attitude hostile aux intérêts de notre
nation. »
Source : Adolf Hitler, Mon Combat : Mein
Kampf, Le Vaumain (Oise), Nouvelles Éditions Latines, 1934
(1924), pages 112-113.
Conclusion : Ni Hitler et ni
ses "sbires" tels que Goebbels ou Göring n'étaient chrétiens. Ils
prônaient un pseudo "panthéisme" rétro germanique. Mais en vérité,
leur seule foi était le nazisme !
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